LES ENQUÊTES DU COMMISSAIRE THÉO

 
 Le commissaire Théo est né de l’imagination de l’auteur. Ne cherchez pas de rapport avec un enquêteur existant ou ayant existé. Son commissariat est situé dans Paris, mais dans quel arrondissement ? L’auteur l’ignore, la police aussi, alors pas la peine de vous fatiguer ! Quoique certains textes laissent supposer le dix-septième, peut-être parce que Théo aime bien la poésie et que Verlaine est enterré à Batignolles !
Lui-même taquine la muse. Il n’en parle pas. Dans son métier prendre son luth apparaîtrait incongru.
Ce personnage près de la retraite, celle des fonctionnaires, pas de Russie, travaille avec une équipe d’une trentaine de policiers civils et en uniformes. Ses deux principaux adjoints sont : Christophe, capitaine et Sophie, une lieutenante stagiaire débarquée de son île natale : la réunion. Sophie est mignonne avec sa peau de créole. Elle exaspère son commissaire de Théo parce qu’elle vient au travail et sur la scène de crime, souvent, en patinette ! C’est une écolo. On peut être policier et écolo. Cette anecdote est vraie, un jour l’auteur a vu, au Sénat, une jeune fille à la peau café au lait et portant un brassard de police, partir dans la rue en patinette ! Évidemment il ignore de quelle île cette fille arrivait, peut-être simplement de l’île de la Cité !
La trame des enquêtes que mène Théo s’inspire de faits divers et de l’imagination de l’auteur. Celui-ci, l’auteur, enveloppe les nouvelles policières d’une peinture sociale dans laquelle l’actualité donne sa couleur.
Attention l’auteur ne prétend pas détenir la vérité, il a simplement la sienne ce qui est déjà pas trop mal ! L’auteur affirme haut et clair que toutes ressemblances avec la réalité est fausse, aucun personnage n’existe, aucune situation n’est véridique, sauf la patinette.
Le commissaire Théo à tendance à jacter en argot, ce qui exaspère les deux adjoints qui n’entravent que dalle ! Théo aime bien boire un verre, mais toujours après le service, chacun sait que l’alcool est interdit dans les commissariats. Parfois Théo récidive ce qui pour un policier semble un comble, pourtant ce n’est pas sa faute si son gosier s’assèche rapidement. Bref le commissaire est un brave type un peu de la vieille école, dépassé par la technique et inquiet de la retraite qui approche. Ah ! J’oubliai, Théo est le diminutif de Théodore son prénom et de Théobald son nom, mais surtout n’appeler pas le commissaire Théodore ou Théobald, il n’aime ni son prénom, ni son nom.
Dans les enquêtes pas de coups de feu. D’abord parce que l’auteur n’aime pas le bruit et puis, en général, la victime est déjà morte, pas la peine d’en rajouter. Ici nous ne sommes pas dans une série américaine. On ne tire pas à tout bout de champ. On enquête, on réfléchit, on ne joue pas au cow-boy.
Comme dans toute enquête criminelle, le commissaire Théo utilise les compétences des techniciens : la fameuse police scientifique. Les enquêteurs utilisent les fichiers informatiques par l’intermédiaire de l’ordinateur. Mais ici, le computer ne donne pas le nom du coupable contrairement aux séries télévisées d’outre-Atlantique. Il faut chercher, recouper, se tromper et puis trouver, mais pas toujours.

Bonnes lectures.


Vous pouvez joindre l'auteur avec le courriel ci-après.

JeanPaulVillerme@aol.com













Créer un site
Créer un site